Texty: Felipecha. Matin Du Café.
Cette nuit, c'est formidable
Cette nuit, si tu savais
Si tu savais le voyage
Que j'ai fait les yeux fermes
Je partais a la montagne
Avec la serveuse du cafe
T' sais, celle qui n'a jamais du me voir
Cette nuit, comme elle m'aimait
Je l'embrassais, fou comme un diable
Et ses ongles s'enfoncaient
Quelle torture agreable
Comme j'aurais voulu saigner
{Refrain:}
Comme
Un matin du cafe
Oui, comme
Un matin du cafe
Cette nuit, c'est formidable
Ce matin, si tu savais
Si tu savais, c'est incroyable
Si tu savais comme j'y croyais
Ses yeux brillaient comme des larmes
Et ses levres m'aspiraient
Toutes brulantes et animales
Elles soupiraient, elle soupirait
Ses yeux brillaient comme des lames
Et la langue bien aiguisee
Qui serpente et cannibale
Comme j'aurais voulu saigner
{au Refrain, x2}
Cette nuit, c'est formidable
Ce matin, si tu savais
Si tu savais, c'est incroyable
Je vois mon nez dans mon cafe
Je vais l'emmener a la montagne
Comme la serveuse dont je te parlais
T'sais, celle qui n'a jamais du me voir
Celle qui me verra jamais
Je l'embrassais, fou comme un diable
Et ses ongles s'enfoncaient
Quelle torture agreable
Comme j'aurais voulu saigner
{au Refrain}
{ad lib:}
Oui, comme
Un matin du cafe
Cette nuit, si tu savais
Si tu savais le voyage
Que j'ai fait les yeux fermes
Je partais a la montagne
Avec la serveuse du cafe
T' sais, celle qui n'a jamais du me voir
Cette nuit, comme elle m'aimait
Je l'embrassais, fou comme un diable
Et ses ongles s'enfoncaient
Quelle torture agreable
Comme j'aurais voulu saigner
{Refrain:}
Comme
Un matin du cafe
Oui, comme
Un matin du cafe
Cette nuit, c'est formidable
Ce matin, si tu savais
Si tu savais, c'est incroyable
Si tu savais comme j'y croyais
Ses yeux brillaient comme des larmes
Et ses levres m'aspiraient
Toutes brulantes et animales
Elles soupiraient, elle soupirait
Ses yeux brillaient comme des lames
Et la langue bien aiguisee
Qui serpente et cannibale
Comme j'aurais voulu saigner
{au Refrain, x2}
Cette nuit, c'est formidable
Ce matin, si tu savais
Si tu savais, c'est incroyable
Je vois mon nez dans mon cafe
Je vais l'emmener a la montagne
Comme la serveuse dont je te parlais
T'sais, celle qui n'a jamais du me voir
Celle qui me verra jamais
Je l'embrassais, fou comme un diable
Et ses ongles s'enfoncaient
Quelle torture agreable
Comme j'aurais voulu saigner
{au Refrain}
{ad lib:}
Oui, comme
Un matin du cafe