Texty: Francis Cabrel. 77-87. L'encre De Tes Yeux.
:
Puisqu'on ne vivra jamais tous les deux
Puisqu'on est fou, puisqu'on est seuls
Puisqu'ils sont si nombreux
Meme la morale parle pour eux
J'aimerais quand meme te dire
Tout ce que j'ai pu ecrire
Je l'ai puise a l'encre de tes yeux.
Je n'avais pas vu que tu portais des chaines
A trop vouloir te regarder,
J'en oubliais les miennes
On revait de Venise et de liberte
J'aimerais quand meme te dire
Tout ce que j'ai pu ecrire
C'est ton sourire qui me l'a dicte.
Tu viendras longtemps marcher dans mes reves
Tu viendras toujours du cote
Ou le soleil se leve
Et si malgre ca j'arrive a t'oublier
J'aimerais quand meme te dire
Tout ce que j'ai pu ecrire
Aura longtemps le parfum des regrets.
Puisqu'on ne vivra jamais tous les deux
Puisqu'on est fou, puisqu'on est seuls
Puisqu'ils sont si nombreux
Meme la morale parle pour eux
J'aimerais quand meme te dire
Tout ce que j'ai pu ecrire
Je l'ai puise a l'encre de tes yeux.
Je n'avais pas vu que tu portais des chaines
A trop vouloir te regarder,
J'en oubliais les miennes
On revait de Venise et de liberte
J'aimerais quand meme te dire
Tout ce que j'ai pu ecrire
C'est ton sourire qui me l'a dicte.
Tu viendras longtemps marcher dans mes reves
Tu viendras toujours du cote
Ou le soleil se leve
Et si malgre ca j'arrive a t'oublier
J'aimerais quand meme te dire
Tout ce que j'ai pu ecrire
Aura longtemps le parfum des regrets.
Francis Cabrel
77-87
Francis Cabrel