Texty: Francis Cabrel. Je Te Suivrai.
Y'a plusieurs metres d'eau dans les rues de ma peine
Plusieurs tonnes de boue dans le flot de mes veines
La riviere charrie les fils de telephone
Avec encore dedans mes appels qui resonnent
La pluie a delave tous les mots que j'invente
Les oiseaux ont crie pour pas que tu m'entendes
Aux endroits ou tu etais y'a des morceaux de glace
Et des arbres en travers pour pas que je passe
Ou tu iras je te suivrai
Je te suivrai...
Meme quand tu auras ferme ta centaine de portes
Meme quand tu auras pleure pour les enfants d'un autre
Meme quand tu auras eteint ce qui brulait de mieux
Meme si tu pars plus loin que ne portent mes yeux
Ou tu iras je te suivrai
Je te suivrai...
Meme au plus profond du silence
Je t'entends encore me dire
On s'approche du ciel
Nos livres fermes se balancent
J'veux pas tomber tout seul
J'veux pas tomber tout seul
Si tu veux j'aimerai meme ceux qui te touchent
Ceux qui ont le gout de toi encore plein la bouche
Meme ceux que tu hais, meme ceux que tu aimes
Il y a tellement d'eau dans les rues de ma peine...
Ou tu iras je te suivrai
Ou tu iras...
Je t'entends encore me dire
On s'approche du ciel
J'veux pas tomber tout seul
J'veux pas tomber tout seul
Il a neige partout aux rebords des fenetres
De cette ville floue ne plus te connaitre
Encore combien d'hivers passeront sous ma porte
Avant qu'un jour j'ose dire que j'aime quelqu'un d'autre.
Plusieurs tonnes de boue dans le flot de mes veines
La riviere charrie les fils de telephone
Avec encore dedans mes appels qui resonnent
La pluie a delave tous les mots que j'invente
Les oiseaux ont crie pour pas que tu m'entendes
Aux endroits ou tu etais y'a des morceaux de glace
Et des arbres en travers pour pas que je passe
Ou tu iras je te suivrai
Je te suivrai...
Meme quand tu auras ferme ta centaine de portes
Meme quand tu auras pleure pour les enfants d'un autre
Meme quand tu auras eteint ce qui brulait de mieux
Meme si tu pars plus loin que ne portent mes yeux
Ou tu iras je te suivrai
Je te suivrai...
Meme au plus profond du silence
Je t'entends encore me dire
On s'approche du ciel
Nos livres fermes se balancent
J'veux pas tomber tout seul
J'veux pas tomber tout seul
Si tu veux j'aimerai meme ceux qui te touchent
Ceux qui ont le gout de toi encore plein la bouche
Meme ceux que tu hais, meme ceux que tu aimes
Il y a tellement d'eau dans les rues de ma peine...
Ou tu iras je te suivrai
Ou tu iras...
Je t'entends encore me dire
On s'approche du ciel
J'veux pas tomber tout seul
J'veux pas tomber tout seul
Il a neige partout aux rebords des fenetres
De cette ville floue ne plus te connaitre
Encore combien d'hivers passeront sous ma porte
Avant qu'un jour j'ose dire que j'aime quelqu'un d'autre.
Francis Cabrel
Francis Cabrel