Texty: Gérard Lenorman. Comme Une Chanson Bizarre.
Me revient a la memoire
Comme une chanson bizarre
Que je chantais sans y croire
Quand le reve est trop fragile
Pour qu'on en garde le fil
Sur les touches blanches et noires
Mon piano jouait tout seul
La dans le matin triste et sale
Un peu comme un chant d'espoir
Qui parlait de paradis perdu
Ou les hommes disparus s'aimeraient chaque jour un peu plus {x2}
Dans ma chanson plus de guerres
Plus de reves ephemeres
S'envolant au petit jour
L'aigle epouse la colombe
Et la terre est presque ronde
Tant elle enfante l'amour
Plus de chagrins derisoires
Qui detruisent les histoires
Les enfants deviennent rois
Rois de tous ces paradis perdus
Ou les hommes disparus s'aiment chaque jour un peu plus {x2}
Me revient a la memoire
Comme une chanson bizarre
Que je jouais malgre moi
Comme si j'etais la plume
Que quelques rayons de lune
Guideraient entre mes doigts
Je ne pouvais pas me taire
J'abolissais les frontieres
Sur le clavier sous mes doigts
S'evaillaient les paradis perdus
Ou les hommes disparus s'aimaient chaque jour un peu plus {x2}
Un peu de moi un peu de vous
Beaucoup d'amour et tant et tant
D'espoir au coeur du monde entier {x 10}
Comme une chanson bizarre
Que je chantais sans y croire
Quand le reve est trop fragile
Pour qu'on en garde le fil
Sur les touches blanches et noires
Mon piano jouait tout seul
La dans le matin triste et sale
Un peu comme un chant d'espoir
Qui parlait de paradis perdu
Ou les hommes disparus s'aimeraient chaque jour un peu plus {x2}
Dans ma chanson plus de guerres
Plus de reves ephemeres
S'envolant au petit jour
L'aigle epouse la colombe
Et la terre est presque ronde
Tant elle enfante l'amour
Plus de chagrins derisoires
Qui detruisent les histoires
Les enfants deviennent rois
Rois de tous ces paradis perdus
Ou les hommes disparus s'aiment chaque jour un peu plus {x2}
Me revient a la memoire
Comme une chanson bizarre
Que je jouais malgre moi
Comme si j'etais la plume
Que quelques rayons de lune
Guideraient entre mes doigts
Je ne pouvais pas me taire
J'abolissais les frontieres
Sur le clavier sous mes doigts
S'evaillaient les paradis perdus
Ou les hommes disparus s'aimaient chaque jour un peu plus {x2}
Un peu de moi un peu de vous
Beaucoup d'amour et tant et tant
D'espoir au coeur du monde entier {x 10}
Gérard Lenorman