Texty: Pierre Calvé. Au Temps De La Moto.
Quand je n'avais qu'une moto
Ma guitare suivait dans mon dos
Je chantais n'importe ou
Sans penser aux sous
Je partageais l'appartement
Avec tous mes amis d'avant
C'etait une auberge de la boheme
On n'avait presque rien
Meme en amour on partageait
On se dit a present
Que c'etait le bon temps
Quand je n'avais qu'une moto
On roulait vers Acapulco
La chaleur de ton corps
Reposait mon dos
Le soleil on ne le payait pas
Mais il nous suivait pas a pas
C'etait nous les maitres de la planete
On n'avait presque rien
Meme en amour on voyageait
Au loin comme chez nous
On etait au Perou
Depuis que je roule en auto
On vole vers Acapulco
Ma maison qui m'attend
A vingt sous zero
J'ai perdu de vue mes amis
Mais une boheme en sursis
Nous attends depuis qu'on a mouille l'ancre
On n'avait presque rien
Pourtant le temps coulait si bien
Avec nos coeurs d'enfants
On oubliait demain
Quand je n'avais qu'une moto
Ma guitare suivait dans mon dos
Quand je n'avais qu'une moto
On roulait vers Acapulco
T'en souviens-tu?
La vie avait toujours un grand sourire
Ma guitare suivait dans mon dos
Je chantais n'importe ou
Sans penser aux sous
Je partageais l'appartement
Avec tous mes amis d'avant
C'etait une auberge de la boheme
On n'avait presque rien
Meme en amour on partageait
On se dit a present
Que c'etait le bon temps
Quand je n'avais qu'une moto
On roulait vers Acapulco
La chaleur de ton corps
Reposait mon dos
Le soleil on ne le payait pas
Mais il nous suivait pas a pas
C'etait nous les maitres de la planete
On n'avait presque rien
Meme en amour on voyageait
Au loin comme chez nous
On etait au Perou
Depuis que je roule en auto
On vole vers Acapulco
Ma maison qui m'attend
A vingt sous zero
J'ai perdu de vue mes amis
Mais une boheme en sursis
Nous attends depuis qu'on a mouille l'ancre
On n'avait presque rien
Pourtant le temps coulait si bien
Avec nos coeurs d'enfants
On oubliait demain
Quand je n'avais qu'une moto
Ma guitare suivait dans mon dos
Quand je n'avais qu'une moto
On roulait vers Acapulco
T'en souviens-tu?
La vie avait toujours un grand sourire
Pierre Calvé