La tes cheveux qui me frolent Mon visage sur ton epaule Donne moi de ta chaleur Contre ta peau sur ton c?ur Toi si fragile et si belle Emmene-moi sous
Sur ma joue Coule une larme Comme une riviere Qui rejoint l'amer Comme un gout De vague a l'ame Comme une colere Qui se libere Je garde sur le c?ur Deux
Dans le peu de temps qu'il nous reste Entre l'enfance et la vieillesse L'innocence Et la sagesse J'veux pas attraper leur nevrose Metro boulot overdose
Sur ma joue Coule une larme Comme une riviere Qui rejoint l'amer Comme un gout De vague a l'ame Comme une colere Qui se libere Je garde sur le coeur
Je me suis reveille D'un long sommeil hautbois dormant Pour te trouver J'ai traverse la nuit des temps Et si j'etais Reste cet enfant d'autrefois Je
Sur les eaux du Gange Les fumees s'evaporent Etrange melange De vie et de mort Immuable beaute D'une enfant qui s'endort Le nez perce D'un anneau d'or
Toutes ces ombres dans les coins de la piece Je cherche mon corps quelque part en toi Pour enfin m'endormir dans tes caresses J'ai peur du noir quand
J'aimerais me promener Sur tes monts tes vallees Devaler tes pentes douces Sans jamais finir ma course Laisse-moi tout embrasser De la tete aux pieds
Chaque soir je me perds Dans le monde qui m'attire Il n'y a plus rien a faire qu'ecouter mes desirs Pour aller un peu plus loin {Refrain:} Et je m'envole
Vivre mes differences Ou sauver les apparences Prisonnier de jolis mensonges Quand la peur de la verite nous ronge Entre reve et realite Je cherche
Elle a ferme sa valise Le strict necessaire Les fringues qu'elle aime lui suffisent Elle se sent plus legere Elle a fait son choix Elle s'en va Loin
On tourne en rond Entre nos murs de beton Chacun derriere ses cloisons On tourne en rond Dans les cours de nos prisons Nos ecoles au pied de plomb On
Tant de larmes Que tu n'as pas laisse couler Y a trop de mal Que tu as trop longtemps cache Tu t'es piege emprisonne Je n'ai rien a te reprocher Toi
Tous ces mots Qui chantent au fond de moi Comme de l'eau Qui coule a travers moi De simples gestes Papillons sur les doigts Ce qu'il en reste Leger et
Qu'elle soit de pierre ou de marbre Un jour la facade se lezarde On lit le temps qui a passe On sent la vie qui a marque D'une empreinte indelebile Cicatrice
Il revait les jours meilleurs D'un autre pays, d'un ailleurs Il n'a trouve que misere Et mepris. Sans commentaires En depit des coups du sort Il est
La nuit Pose son voile sombre Sans bruit Sur un theatre d'ombres Paris qui s'allume La Seine et la lune Qui passe et qui fume Au loin... La nuit Le passe
A courir Du Pacifique a l'Inde On voulait quoi ? On voyait partout des sardines Alignees dans d'l'huile de moteur Fallait donc qu'on couse a nos jeans